samedi 7 mars 2009
mercredi 14 janvier 2009
PLAN DU BLOG...
I-Qui suis-je ?
-Questionnaire de Proust
-Portrait chinois
-"Je me souviens"
(+Bonus )
----
-Portrait chinois
-"Je me souviens"
(+Bonus )
----
II-Le pacte autobiographique.
-écriture à la manière de "Rousseau"
----
----
III-Souvenirs, souvenirs...
-Une bêtise
-Une honte
-Un souvenir d'école
----
-Une honte
-Un souvenir d'école
----
IV-Ma naissance.
(En entracte)
(En entracte)
----
V-Joural intime d'une jeune stagiaire
-Une page de journal intime
qui raconte une de mes sept
qui raconte une de mes sept
journéestagiaire,
ainsi qu'un mes sentiment
ainsi qu'un mes sentiment
et mes émotions
----
----
Bonus :mon enfance en image.
-Une photo commentée
-Une photo commentée
----
I-Qui suis-je ?
Questionnaire de Proust...
Le principal trait de mon caractère : Il paraît que je suis romantique...
Ce que j'apprécie le plus chez mes amis : La complicité entre deux être est la plus agréable des relation...
Mon principal défaut : La lune, le la connaît par coeur...
Mon occupation préférée : La musique, je suis née dans une contrebasse...
Mon rêve de bonheur : Le plus beau des amours pour le plus beau des rêves...
Quel serait mon plus grand malheur : Vieillir seule me paraît terrible comme destin...
Ce que je voudrais être : Le cinéma me semble un bel avenir...
Mes auteurs favoris en prose : " En fait, la supercherie ne faisait qu’accentuer l’impression de claustration." Serge Brussolo...
Mes poètes préférés : « L'art est long et le temps est court »Baudelair...
Mes héros préférés dans la fiction : FanFan La tulipe...
Mes peintres favoris : Rien n'est plus beau que les nénuphars de Monet...
Mes héros dans la vie réelle : Au Che Gavara !
Ca que je déteste par-dessus tout : Ne soyez pas lunatique!
Le don de la nature que je voudrais avoir : Seul l'immortel est roi...
Les fautes qui m'inspirent le plus d'indulgence : ...
Ma devise : Qui ne tente rien n'a rien...
L'état présent de mon esprit : Amoureuse...
...
Portrait chinois...
Si j'étais un objet, je serais : Une caméra...
Si j'étais un saison, je serais : Le printemps...
Si j'étais un animal, je serais : une abeille...
Si j'étais une chanson, je serais : Le tango de Roxane...
Si j'étais une couleur, je serais : le rouge...
Si j'étais un roman, je serais : Les enfants du crépuscule...
Si j'étais un personnage de fiction, je serais : Blanche neige...
Si j'étais un film, je serais : Le moulin rouge...
Si j'étais un endroit, je serais : Venise...
Si j'étais un oiseau,je serais : L'hirondelle...
Si j'étais un végétal, je serais : Un poirier...
Si j'étais un fruit, je serais : La poire...
Si j'étais un plat, je serais : Une salade de fruit...
Si j'étais un sport, je serais : La danse...
Si j'étais un vêtement, je serais : Un chemisier...
Si j'étais une qualité, je serais : Généreuse...
Si j'étais un défaut, je serais : Égoïste...
Si j'étais un pays, je serais : L'Italie...
...
"Je me souviens"...
---Georges Perec---
Je me souviens de ma première piqûre d'abeille...
Je me souviens du rebord de la piscine sur lequel j'ai laissé ma dent...
Je me souviens des pattes bleues de la station de ski "Isola2000"...
Je me souviens des gâteaux que j'avais laissé sur la cheminée pour le père noël...
Je me souviens du point insoutenable de mon plâtre au tibia...
Je me souviens des larmes de mon père lors de mon concert de piano...
Je me souviens de la chaleur de Nice...
Je me souviens de la fraîcheur de Bruxelles ...
Je me souviens de ma robe noir que je n'ai mise qu'une fois...
Je me souviens de cette sensation de plaisir lors de ma plus grosse descente de ski...
III-...Souvenirs-souvenirs...
Les bêtises de mon enfance.
De tous mes souvenirs d’enfance, les meilleurs sont ceux de la maternelle, plus précisément lors de la sieste. Quel drôle d’invention que la sieste .Jamais je n’avais réussi ni même tenté d’en faire une. Les journées ne sont-elles pas assez courtes comme ça ?
Une fois par exemple, avec l’aide de ma sœure jumelle, parfaite complice, nous cherchâmes un moyen de réveiller nos pauvres camarades endormis ,qui, inconsciemment étaient en train de perdre deux heures de leur courte journée. Il fallait à tout prix leurs venir en aide.
A cette époque de la vie, j’étais passé maître dans l’art de la solution immorale et tordue. Je trouvai donc rapidement une solution à notre problème. Montant sur des tabourets, nous tentâmes de laisser entrer la lumière pour tuer l’obscurité.
Mais quelque chose nous avait échappé. Le fonctionnement des tringles de rideaux nous était totalement étranger.
Ainsi, nous nous pendîmes aux tissus qui s’arrachèrent sous notre poids. Laissant entrée une éclatante lumière dans la salle de sieste nous réveillâmes nos camarades et, bien évidement, les soupesons de la maitresse.
Elle ne félicita pas notre duo démoniaque pour son oeuvre accomplie.
Je passai donc le reste de ma journée à gratter sur mon petit cahier de punition, qui était déjà bien remplie :
« Tarzan ».
De tous mes souvenirs d’enfance, les meilleurs sont ceux de la maternelle, plus précisément lors de la sieste. Quel drôle d’invention que la sieste .Jamais je n’avais réussi ni même tenté d’en faire une. Les journées ne sont-elles pas assez courtes comme ça ?
Une fois par exemple, avec l’aide de ma sœure jumelle, parfaite complice, nous cherchâmes un moyen de réveiller nos pauvres camarades endormis ,qui, inconsciemment étaient en train de perdre deux heures de leur courte journée. Il fallait à tout prix leurs venir en aide.
A cette époque de la vie, j’étais passé maître dans l’art de la solution immorale et tordue. Je trouvai donc rapidement une solution à notre problème. Montant sur des tabourets, nous tentâmes de laisser entrer la lumière pour tuer l’obscurité.
Mais quelque chose nous avait échappé. Le fonctionnement des tringles de rideaux nous était totalement étranger.
Ainsi, nous nous pendîmes aux tissus qui s’arrachèrent sous notre poids. Laissant entrée une éclatante lumière dans la salle de sieste nous réveillâmes nos camarades et, bien évidement, les soupesons de la maitresse.
Elle ne félicita pas notre duo démoniaque pour son oeuvre accomplie.
Je passai donc le reste de ma journée à gratter sur mon petit cahier de punition, qui était déjà bien remplie :
« Tarzan ».
IV-...Ma naissance...
Lors que je suis née, je fus fort surprise de voir que je n’étais pas seule, j’assistais ainsi, à travers ma couveuse, à la naissance de mon parfait clone. Cet étrange personnage était donc resté neuf mois collé à moi ?Jamais je n’aurais cru que nous étions deux, que chacune épousait les formes de l’autre sans savoir que l’autre en question n’était pas le simple ventre de notre mère. Enfin bref, je m’étais retrouvé avec une deuxième moi sans m’y être psychologiquement préparée. Pourquoi pas…
dimanche 4 janvier 2009
Inscription à :
Commentaires (Atom)