
Les bêtises de mon enfance.
De tous mes souvenirs d’enfance, les meilleurs sont ceux de la maternelle, plus précisément lors de la sieste. Quel drôle d’invention que la sieste .Jamais je n’avais réussi ni même tenté d’en faire une. Les journées ne sont-elles pas assez courtes comme ça ?
Une fois par exemple, avec l’aide de ma sœure jumelle, parfaite complice, nous cherchâmes un moyen de réveiller nos pauvres camarades endormis ,qui, inconsciemment étaient en train de perdre deux heures de leur courte journée. Il fallait à tout prix leurs venir en aide.
A cette époque de la vie, j’étais passé maître dans l’art de la solution immorale et tordue. Je trouvai donc rapidement une solution à notre problème. Montant sur des tabourets, nous tentâmes de laisser entrer la lumière pour tuer l’obscurité.
Mais quelque chose nous avait échappé. Le fonctionnement des tringles de rideaux nous était totalement étranger.
Ainsi, nous nous pendîmes aux tissus qui s’arrachèrent sous notre poids. Laissant entrée une éclatante lumière dans la salle de sieste nous réveillâmes nos camarades et, bien évidement, les soupesons de la maitresse.
Elle ne félicita pas notre duo démoniaque pour son oeuvre accomplie.
Je passai donc le reste de ma journée à gratter sur mon petit cahier de punition, qui était déjà bien remplie :
« Tarzan ».
De tous mes souvenirs d’enfance, les meilleurs sont ceux de la maternelle, plus précisément lors de la sieste. Quel drôle d’invention que la sieste .Jamais je n’avais réussi ni même tenté d’en faire une. Les journées ne sont-elles pas assez courtes comme ça ?
Une fois par exemple, avec l’aide de ma sœure jumelle, parfaite complice, nous cherchâmes un moyen de réveiller nos pauvres camarades endormis ,qui, inconsciemment étaient en train de perdre deux heures de leur courte journée. Il fallait à tout prix leurs venir en aide.
A cette époque de la vie, j’étais passé maître dans l’art de la solution immorale et tordue. Je trouvai donc rapidement une solution à notre problème. Montant sur des tabourets, nous tentâmes de laisser entrer la lumière pour tuer l’obscurité.
Mais quelque chose nous avait échappé. Le fonctionnement des tringles de rideaux nous était totalement étranger.
Ainsi, nous nous pendîmes aux tissus qui s’arrachèrent sous notre poids. Laissant entrée une éclatante lumière dans la salle de sieste nous réveillâmes nos camarades et, bien évidement, les soupesons de la maitresse.
Elle ne félicita pas notre duo démoniaque pour son oeuvre accomplie.
Je passai donc le reste de ma journée à gratter sur mon petit cahier de punition, qui était déjà bien remplie :
« Tarzan ».
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